
« Plus qu’un livre, c’est un univers qui m’a conduit à l’écriture dès l’adolescence : celui de Boris Vian. L’Écume des jours, L’Herbe rouge, l’Arrache-cœur. Oui, je crois qu’inconsciemment, il m’a beaucoup influencé. Un critique m’a dit un jour que mon univers ressemblait à celui de Vian, avec une sorte de fantaisie débridée. Le compliment m’a plu parce que je crois qu’il a quelque chose de vrai. »
