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L'aristarque

Une lecture de JFF

« Rachel et les siens », 
un Goncourt sinon rien !

Publié le 5 septembre 2020

En 2006, j’ai été victime d’un virus qui a fait 700 000 malades (ou acheteurs, c’est selon)… Les Bienveillantes de Jonathan Littell (éd. Gallimard) ! Il y avait les massacres de masse des nazis, les camps, les tragédies que les Juifs traînent derrière eux, la douleur plus encore que l’horreur, mais aussi le vent d’Europe de l’Est, la caresse de la culture grecque, la paternité, la maternité, le sexe, l’amitié, et cet amour à peine croyable quand il plonge ses racines dans un inceste qui échappe au commun des mortels. Et puis, le style. Et puis, le talent. Et puis, le Goncourt !

Il y a le style, le talent, et – je le dis sans hésiter, avec mes tripes – cette puissance qui garantit l’ampleur d’un vrai Goncourt…

Quatorze ans plus tard, j’éprouve le même frisson. Pour Rachel et les siens (éd.

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